Les nomades itinérants n’ont jamais fait partie d’un village ou d’une société confinée. La nature de leur travail les obligeait à être constamment en mouvement. Ils étaient les commerçants, les artistes, les artistes, les diseuses de bonne aventure, les fournisseurs de services essentiels et bien plus encore. Jusqu'à il y a 50 ou 60 ans, ils constituaient une partie essentielle de notre existence, car leur présence assurait le fonctionnement de la société comme une machine bien huilée. Cependant, l’avènement d’une société industrielle a rendu inutiles les moyens de subsistance habiles et habiles de ces communautés et a conduit à une obsolescence progressive. Comme ces communautés ne faisaient partie d'aucune société sédentaire et que leurs compétences n'étaient plus nécessaires, elles ont commencé à disparaître de la mémoire de la société civile, des législateurs et des planificateurs. Les nomades restent dans des campements improvisés, loin des villages de revenus. En conséquence, leurs noms n’ont jamais fait partie d’une étude de recensement et leur existence n’a jamais été prise en compte !!
Le terme Nomad provient d'un mot français Nomdae qui signifie personnes sans habitation fixe. Les nomades sont connus comme un groupe de communautés qui se déplacent d'un endroit à l'autre pour gagner leur vie. Les communautés nomades en Inde peuvent être divisées en trois groupes de chasseurs-cueilleurs, de pasteurs et de groupes de producteurs itinérants ou non alimentaires. Parmi ceux-ci, les nomades périphériques sont le groupe social le plus négligé et discriminé de l'Inde. Ils ont perdu leur niche de moyens de subsistance en raison de changements radicaux dans les systèmes de transport, les industries, la production, le divertissement et la distribution.