Le journal Tamurt est un organe d’information Kabyle et nord-africaine 24/7.

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25 oct. 2021
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TAMURT INFO - Journal Kabylie APP

Le journal tamurt est un organe d’information. Il vous embarque au cœur de la Kabylie profonde. Il est essentiellement dédié à l’actualité kabyle et nord-africaine. Le devoir de tamurt est d’informer ses lecteurs en temps réel et en toute objectivité. Actuellement disponible en quatre éditions indépendantes: kabyle, française, allemande, et anglaise.

Pour mener à bien cette mission d’information, des journalistes, des chroniqueurs, des correspondants, des caricaturistes, des vidéastes, des webmestres, des graphistes, des éditeurs, etc., tous militants dévoués à la liberté du peuple kabyle, se concentrent sur des sujets récurrents de l’état réel de la Kabylie et des issues pour son émancipation. L’équipe du journal s’efforce de vous rapporter des faits vérifiés et authentiques.

Dynamique, impassible, et résolument tourné vers le futur, le journal tamurt est un support pour l’émancipation du peuple kabyle et des autres peuples imazighen. Il contribue à l’émergence d’un État kabyle libre et pour la liberté de Tamazgha. Notre ambition est de faire du journal votre lien privilégié avec la Kabylie.

Notre sommes persuadés que la place de la grande famille amazighe est parmi les peuples humanistes, généreux, et innovants de ce monde. « L’honneur de la Kabylie par la plume » est notre devise. À cet idéal nous en faisons le serment de défendre les intérêts suprêmes de la Kabylie en toutes circonstances et quel qu’en soit le prix.

Notre ligne éditoriale nous a valu plusieurs procès dont celui de Anissa Boumediène, veuve du dictateur Mohamed Boukharouba alias Houari Boumediène, en 2017, devant le tribunal de grande instance de Paris 17e. La veuve du dictateur avait demandé à la justice française d’emprisonner Lyazid Abid, directeur de publication et propriétaire de tamurt, et une indemnisation à hauteur de 300 000€ pour atteinte à la mémoire de son défunt mari Mohamed Boukharouba. Anissa Boumediène a perdu le procès.

Le journal est ouvert sur le reste du monde. Il ne se contente pas de critiquer, il est toujours à la recherche de solutions et se propose d’aider à leur mise en œuvre.
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