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Le "cururu siriri", danse populaire du folklore du Mato Grosso. Pratiqué en ville comme à la campagne, il a une présence indispensable lors des fêtes, baptêmes, mariages et célébrations religieuses. C'est une danse qui rappelle les fêtes indigènes. Le Cururu joué et dansé presque toujours par des hommes, le siriri par des hommes, des femmes et des enfants, dans une chorégraphie très variée et sans interprétation définie, se déroule dans les arrière-cours, les salons, les balcons ou même dans les grands centres urbains. La chanson est simple, parle des choses de la vie, de la naissance, de la famille et de la présence d'amis. Les joueurs sont aussi les chanteurs et ceux qui dansent forment aussi le chœur. Les voix sont aiguës, elles chantent la tristesse et la nostalgie dans les mélodies tristes, et la joie et la détente dans les chants festifs. Il devient irrésistible pour qui le voit et veut bientôt entrer dans la danse qui véhicule le respect de la vie et le culte de l'amitié. Les éléments Instruments du contexte sont : Viola de Cocho, Mocho et Ganzá.
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